© CRÉDITS - Cyrine.

Atkins, Madeline.

Citation :

⎨ Don't worry, be happy ⎬

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✚ ( hominum revelio )

NOM ~ Atkins
PRÉNOM(S) ~ Madeline
SURNOM(S) ~ Maddy, Mads
DATE DE NAISSANCE & AGE ~ 19 mai, 19 ans. .
LIEU DE NAISSANCE ET NATIONALITÉ ~ Madeline est né à Waltham Chase, un village situé au sud de l’Angleterre, dans le Hampshire. Elle est donc anglaise.
STATUT ~ Élève de 9e année.
SANG ~ Sang mêlé.
BAGUETTE ~ La baguette ayant choisi Madeline est fabriquée en bois de pommier, mesure 29 cm et cache quelques crins de licorne.
ANIMAL DE COMPAGNIE ~ Un petit hibou nommé Zéphyr.


✚ ( prior incanto )

▲ QUELLES OPTIONS AVEZ-VOUS CHOISI ET POURQUOI ? ~ Madeline a choisi la sorcerologie comme première option. Cette branche de la magie l’a toujours intéressée. Non seulement elle aime comprendre comment fonctionne les choses, mais elle ressent le besoin de savoir. Elle peut passer des heures à décortiquer quelque chose qui lui échappe (que ce soit une potion qu’elle n’arrive pas à fabriquer, un sortilège qui refuse de coopérer, etc.).
La seconde option que Madeline a choisie est la divination. Elle ne sait pas trop pourquoi, du haut de ses treize ans, elle a choisi ce cours. Sans doute car décortiquer ses rêves et comprendre leur signification lui a apparu primordiale à l’instant de sélectionner ses futures classes...
▲ QUELLE EST VOTRE MATIÈRE FAVORITE, AINSI QUE VOTRE POTION ET SORT FAVORIS ? ~ La matière préférée de Madeline est sans aucun doute la sorcerologie et ce pour les mêmes raisons qui lui ont fait choisir cette option. (En d’autres mots, voir la question précédente histoire que j’évite de me répéter et donc, de vous ennuyer.)
Sa potion favorite est le polynectar. Le pouvoir de se transformer en quelqu’un d’autre le temps d’une heure la fascine.
Son sort préféré est Avis. Il fait apparaître une volée d’oiseaux. Madeline a eu beaucoup de difficultés à maîtriser ce sortilège. Elle avait dû s’entraîner beaucoup plus que les autres élèves pour y parvenir. Toutefois, lorsqu’elle réussit à faire sortir une nuée d’oiseaux de sa baguette, elle ressentit une immense fierté l’envahir. À chaque fois qu’elle pratique ce sort, le même sentiment du devoir accompli l’assaille. Cela la rend particulièrement heureuse. De plus, elle trouve cette envolée d’oiseaux particulièrement jolie et ils lui rappellent son patronus.
▲ COMMENT VOUS VOYEZ-VOUS APRÈS VOS ÉTUDES? ~ Sans être complètement sûre, Madeline serait intéressée par une carrière en justice magique.
▲ DANS QUELLE MAISON AIMERIEZ-VOUS ÊTRE? ~ Cette question est plutôt compliquée quand il s’agit de Madeline. Elle serait heureuse autant chez les Poufsouffles que chez les Serdaigles.
Sa curiosité intellectuelle naturelle, son amour des livres, du savoir et son désir de tout comprendre la poussent chez les aigles. Toutefois, Madeline déteste étudier. Si la matière ne l’intéresse pas, elle n’y passera certainement pas des heures à tenter de l’assimiler. Elle ne vit pas pour avoir de bonnes notes et c’est même assez secondaire pour elle. Madeline est dans la moyenne côté académique. Elle est trop rêveuse.
Madeline est une gentille personne. Souriante, elle essaie toujours de voir le bon côté des choses. La vie n’a pas toujours été tendre avec elle, mais elle essaie de ne pas s’attarder trop aux vacheries qu’on lui envoie. Très peu rancunière, Madeline pardonne facilement. Elle est une fière défenseure des secondes chances et préfère croire que tous êtres humains ont une once de bonté à l’intérieur. C’est plutôt naïf comme vision du monde, mais Madeline n’a pas peur de l’assumer. Aussi, elle est loyale et juste. Elle est persuadée que la justice finira par triompher.
▲ QUELS SONT VOTRE EPOUVANTARD ET VOTRE PATRONUS ? ~ L’épouvantard de Madeline est un mur de feu. Ayant survécu de justesse à un incendie lorsqu’elle était jeune, elle garde un très mauvais souvenir de cet incident et est terrorisée à l’idée d’être de nouveau emprisonnée par des flammes. Elle a toujours eu du mal à vaincre les épouvantards malgré qu’ils soient du niveau de troisième année. Que voulez-vous, peu de choses rendent un feu marrant.
Son patronus est un cygne. Elle fut très heureuse lorsqu’elle découvrit ce magnifique oiseau sortant de sa baguette.
▲ SI VOUS ÉTIEZ DEVANT LE MIROIR DU RISED, QUE VERRIEZ VOUS ? ~ Madeline se voit un peu plus vieille avec une belle maison de campagne en fond. Elle est enlacée par celui qu’elle devine être l’homme de sa vie (ne l’ayant toujours pas rencontré, ces traits sont flous et Madeline ne saurait dire de qui il s’agit). Quelques enfants courent autour d’eux en riant. Ce que Madeline désire le plus, c’est avoir une famille heureuse.
▲ VOTRE AVIS SUR LA RADIO PIRATE ? ~ Madeline s’en fout un peu. Savoir qu'un tel a trompé une telle avec celle-là ne l’intéresse pas vraiment. Elle a évidemment écouté quelques émissions. Sans y apporter une importance démesurée, elle trouve la partie « ragot » assez comique. Quant à l’appel à la révolte, elle l’écoute avec parcimonie. Madeline approuve certains de leur propos, mais elle en trouve d’autres exagérés.
▲ QUE PENSEZ-VOUS DE LA NOMINATION DE DERWENT SMITHLEY AU POSTE DE DIRECTEUR ? ~ Madeline doit admettre que Poudlard était rendu hors de contrôle. Un peu d’ordre ne fait de mal à personne. Toutefois, elle trouve que certaines mesures sont injustes et extrêmes. Il ne faut pas devenir fou avec les règlements quand même !


✚ ( repello moldum )

PSEUDO ~ Stéphanie
AGE ~ 19 ans
AVATAR ~ Willa Holland
PRÉSENCE ~ 4 à 6 jours par semaine :)
COMMENTAIRE(S) ~ Le forum a l’air super !!! :) (Et j’essaie même pas de faire ma lèche-cul...! :P)

© CRÉDITS - pebutler.

✚ ( limacius eructo )

Une nouvelle quinte de toux retentit. Madeline regarda discrètement sa mère. Elle lui avait assuré que tout allait bien, mais la jeune femme n’y croyait pas une seconde. Trop de fois cette situation s’était produite : sa mère qui se mettait à tousser comme une démente, sa voix qui résonnait une octave trop basse, etc. Depuis l’incident, Celia Foster souffrait de graves problèmes respiratoires. Même s’il avait eu lieu il y a de nombreuses années (14 pour être exacte), sa mère souffrait toujours autant. C’était pire même. Ses crises ne s’étaient aucunement atténuées. Au contraire, elles étaient plus fréquentes, plus graves et s’en rétablir était plus long.

Madeline était inquiète. Elle ne pouvait s’empêcher de jeter des coups d’œil à sa mère qui tentait tant bien que mal de préparer le souper. Madeline, assise au comptoir de la cuisine, essayait de finir un devoir d’été. Toutefois, elle n’aurait pu dire sur quelle matière elle travaillait tant elle était préoccupée. Elle avait toute la misère du monde à se concentrer.

Comme à chaque fois qu’elle était anxieuse, elle caressa son épaule droite à la recherche de sa brûlure, son « meilleur » souvenir de l’incendie. Elle ferma les yeux et frissonna alors que des flashs de l’évènement lui revenaient en tête.

La peur était toujours le premier sentiment à revenir. Elle n’était jamais parvenue à s’en défaire. Le feu l’effrayait. Elle se revoyait, âgée d’à peine cinq ans, tenter d’échapper aux flammes, courir vers ce qui lui avait d’abord semblé une bonne cachette. Son garde-robe avait toujours été son repaire préférée. Lorsqu’elle jouait à cache-cache, elle finissait souvent par se trouver dans cet endroit. Les autres prenaient toujours un temps fou à la retrouver lorsqu’elle se tapissait là, sous quelques vêtements. Évidemment, elle avait aujourd’hui compris que tout le monde connaissait d’avance où elle allait se cacher et faisait semblant de la chercher. Toutefois, ce n’était pas le cas à l’époque. Elle était entrée dans son garde-robe, s’était accroupie et enfouie sous tout ce qu’elle avait trouvé...

Le bruit d’une forte inspiration la tira de ses pensées. Elle se tourna brusquement vers sa mère qui haletait. La respiration sifflante, elle s’était agrippée au comptoir et respirait difficilement. Une lumière rouge se mit à clignoter dans la tête de Madeline.

Une crise. Encore une.

Madeline savait quoi faire. D’un accio, elle appela la pompe d’asthme de sa mère. Ce n’était pas une pompe moldu ordinaire. Elle avait été modifiée par quelques sortilèges et permettait à sa mère de se rétablir si c’était une petite crise ou de tenir le temps qu’ils se rendent à Ste-Mangouste s’il s’agissait de quelque chose de plus grave. La pompe fila directement dans les mains de Madeline qui la donna rapidement à sa mère. Voyant que la pompe était insuffisante, Madeline ensorcela la plume la plus proche qui se mit à griffonner un mot pour son père.

« Maman a eu une crise. Partie pour Ste-Mangouste. – Mads »

Madeline aida sa mère à se rendre jusqu’au salon. Elle prit une poignée de poudre de cheminette, suffisamment pour les transporter toutes les deux, et s’exclama : « Ste-Mangoute! »

La suite des évènements se déroula à une vitesse éclair. Dès qu’elles arrivèrent des infirmières prirent soin de sa mère et l’emmenèrent pour qu’on la soigne. Madeline se sentait coupable chaque fois que sa mère avait ses problèmes respiratoires. Si elle avait été un peu plus brillante et était sortie dehors plutôt que de se cacher à l’intérieur, sa mère n’aurait pas eu besoin de retourner la chercher.

C’était sa mère qui l’avait retrouvée. Celia connaissait bien sa fille et compris en ne la voyant pas sortir que la fillette s’était sans doute cachée dans son fameux garde-robe. N’écoutant que son instinct maternel, sa mère avait foncé à l’intérieur et ce, malgré les cris de son mari. Le feu gagnait rapidement du terrain, mais Celia réussit à se frayer un chemin jusqu’à sa fille à coup d’aquamenti. Afin de se protéger de la fumée, sa mère avait appliqué sur elle-même un sortilège de têtenbulle. Dès qu’elle retrouva Madeline (qui pleurait abondamment), elle lui fournit la même protection. Elle tenta d’abord de calmer la fillette en pleurs puis la prit dans ses bras enfin de les sortir de là.

Malheureusement, elles eurent moins de chance au retour. Celia avait plus de difficultés à manier sa baguette avec sa fille dans ses bras. Soudainement, une fiole de potion explosa. Le contenu avait mal réagi avec cette exposition prolongée à la chaleur. Celia reçut la majorité du liquide sur son dos ce qui la brûla gravement. Madeline, protégée par sa mère n’en reçut qu’une légère giclée sur l’épaule droite. Toutefois, c’était suffisant pour la blesser gravement et laisser une marque indélébile sur sa peau. Dans l’explosion, la têtenbulle de sa mère se perça et Celia respira les effluves toxiques de la potion. Ce furent elles qui lui donnèrent ses futurs problèmes de santé.

Sa mère réussit à les sortir de la maison de justesse. Peter, le père de Madeline, accourut dès qu’il les aperçut. Il prit l’enfant qui pleurait toujours dans ses bras. Celia s’évanouit et Peter réussit avec peine à l’empêcher de s’écraser sur le sol. Un pompier moldu arriva jusqu’à eux et emmena Celia a une distance respectable de la maison en flamme...

Madeline se prit la tête dans les mains. Elle ne put empêcher une larme de couler sur sa joue. Elle s’empressa de l’essuyer. Son père allait sûrement bientôt rentrer, voir son mot, se mettre à paniquer et tenter de la contacter. Madeline souffla un coup afin de se reprendre. Elle devait être forte pour sa mère. Elle savait qu’il n’y avait rien d’autre à faire qu’attendre que la crise passe. Elle décida de rentrer à la maison attendre son père. De toute façon, son père, étant moldu, ne pouvait utiliser la poudre cheminette seul. Ils reviendraient ensemble.

À peine avait-elle mis un pied dans son salon que son père tomba dessus.

- Est-ce que ta mère va bien ? s’empressa-t-il de demander. Et toi, ma chérie, ça va ?
- Moi, ça va. Maman... je sais pas. Je n’ai pas encore parlé à un médicomage, expliqua-t-elle en enlaçant son père.

Ils restèrent ainsi un moment, essayant de se réconforter l’un l’autre. Tous deux savaient que les médicomages ne pouvaient complètement guérir sa mère. Les dommages que ses bronches avaient subis étaient irréparables. En respirant les effluves toxiques qui se dégageaient de la potion, elle en avait brûlé une partie. Les médicomages avaient tout fait pour limiter les dégâts, mais rien n’avait pu la guérir complètement. C’était comme pour la brûlure qu’elle et sa mère partageaient. On avait pu l’atténuer, mais pas la faire disparaître.

Madeline s’éloigna de son père et caressa de nouveau sa brûlure. Elle tenta un faible sourire.

- Allez viens papa. Je t’emmène à Ste-Mangouste.


✚ ( expecto patronum )

• Madeline est une solitaire. Elle s’entend bien avec relativement tout le monde et n’a pas d’ennemi à proprement parlé. Toutefois, elle a peu d’amis.
  
• Elle entretient de bonnes relations avec les membres de sa famille.
  
• Son père est moldu. Il travaille comme fonctionnaire dans une compagnie de téléphone cellulaire.
  
• Sa mère est une sorcière (ancienne Serdaigle). Elle travaille au ministère de la magie dans le département de la coopération magique internationale.
  
• Madeline porte toujours des hauts avec des manches. Elle ne tient pas à montrer sa blessure et encore moins expliquer comment elle est arrivée sur son bras.
  
• Madeline est une excellente nageuse. C’est seulement en maillot qu’elle accepte de découvrir son épaule.

Citation :

Mmmmh je vois beaucoup de curiosité, de grandes capacités intellectuelles... Exactement ce qu'il faut pour être chez Serdaigle.. Mais je vois également une envie de faire du monde une meilleure place... Mmmh, je pense que POUFFSOUFFLE pourra t'aider dans cette voie.